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Arielle Beck

Premier grand prix 2018 du concours international Jeune Chopin (Institut Frédéric-Chopin en Suisse) présidé par Martha Argerich, Arielle Beck est depuis l’invitée de nombreux festivals en France et en Europe. Née en 2009 à Paris, elle donne son premier récital à 9 ans et fait ses débuts officiels avec orchestre l’année suivante à l’Unesco de Paris dans le 12e Concerto de Mozart. Également passionnée de musique de chambre, elle joue régulièrement avec des musiciens de renommée internationale.

Formée par le pianiste russe Igor Lazko, Arielle Beck obtient à 12 ans son diplôme d’études musicales avec les plus hautes distinctions au Conservatoire de la rue de Madrid à Paris, dans la classe de Billy Eidi, après ses premières années avec Anne-Lise Gastaldi. Elle étudie ensuite avec Romano Pallottini au Conservatoire de Saint-Maur-des-Fossés, et est admise à l’unanimité à 14 ans au Conservatoire national supérieur de Paris, dans la classe de Claire Désert. Elle bénéficie aussi des conseils de Stephen Kovacevich à Londres et de Momo Kodama à Paris.

À 15 ans, Arielle se produit déjà régulièrement en récital à La Roque d’Anthéron, Lucerne, Gstaad, Paris, Nantes, Barcelone. Avec orchestre, elle se produit notamment avec l'Orchestre de Marseille, l'Orchestre de Montpellier, l'Opole Philharmonic, et collabore avec des chefs tels que Lawrence Foster et Leo Hussein.

Les temps forts des saisons à venir incluent des concerts avec l’Orchestre National des Pays de la Loire, l’Orchestre du Pays Basque, l’Orchestre de Nice, ainsi que des récitals à Paris, Madrid, Nantes, Toulouse, Menton, et ses débuts en Italie (Isola d’Elba) et au Japon (Folle Journée de Tokyo).

Revue de presse :

« Il y a une petite fille française qui est très remarquable, Arielle Beck. Elle joue magnifiquement, c’est quelqu’un de très extraordinaire... Une grande sensibilité. Un talent ! »

Martha Argerich (Entretien avec Olivier Bellamy, Radio Classique, nov. 2019).

« Parmi les plus belles pousses du piano nouveau ! »

Olivier Bellamy, sept. 2020

« Admirable dans Chopin comme dans ses compositions scriabino-chostakovitchiennes, si sensible et si pleine d’autorité. »

Alain Lompech, Pianiste, nov.-déc. 2022).

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